(...) Trente morts de trop ? Mais qui donc compte
(...) Trente morts de trop ? Mais qui donc compte les morts devant la victoire ? Il est hors de doute que les pères, et même les mères, étaient résolus à y mettre le prix. Et comme disait ce large bourgeois : "c'est un principe premier qu'à la guerre on tue des hommes". Il est clair que si ce principe était universellement refusé, il n'y aurait pas de guerres. Vous demandez comment les choses iraient. Je n'en sais rien. La paix n'a jamais été essayée (...).
Alain.
Mars ou la guerre jugée.(1936) : le trou.
LYON; Saône
F